Voilà bien mon école, celle des feuilletonistes du 19ème ou du début du XXème ; ces faiseurs d'histoires, ces raconteurs de rêves, ces cochers de l'imaginaire. Je ne puis concevoir les littératures de l'imaginaire que comme un art populaire, dans le sens noble du terme. Prendre le lecteur, l'attraper, l'emmener dans mille péripéties. Point de verbiages inutiles, mais une bonne vieille histoire qui empêche de lâcher le livre, des personnages qui vous hanteront encore longtemps. "Les mystères de Paris", Eugène Sue appartiennent bien à cette veine, et je veux la sentir battre contre les miennes.
Léon
Il y a 9 heures
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